Comment placer au mieux sa trésorerie d’entreprise selon Sunny AM ?

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Quand son entreprise génère des excédents de trésorerie, il est naturel de rechercher des solutions pour les placer, les sécuriser et les optimiser. Dans un contexte de baisse des taux d’intérêt et de rémunération extrêmement faible des placements de court terme, découvrez comment placer au mieux sa trésorerie d’entreprise, tout en maîtrisant les risques.

Face à des entreprises qui cherchent à coupler sécurité et rendement, les banquiers et les assureurs peinent à proposer des solutions pour la trésorerie stable des entreprises. Selon une récente étude de Coe-Rexecode, les entreprises préfèrent garder du cash plutôt que de placer leurs liquidités sur des comptes à terme dont la rémunération est de plus en plus faible, ou sur des fonds de trésorerie « dynamiques » devenus plus risqués après la crise des « subprimes ». Pourtant, des solutions efficaces existent. Il serait dommage de ne pas utiliser ces excédents de trésorerie alors qu’une gestion efficace de ces derniers peut être rémunératrice pour l’entreprise. Placer sa trésorerie permet de répondre à différents besoins de l’entreprise :
– bénéficier d’une rémunération,
– disposer d’une épargne de précaution,
– obtenir un financement.

Ce qu’il faut savoir avant de placer une trésorerie

La trésorerie est l’indicateur comptable central. Il traduit l’état de santé financière de l’entreprise. D’où l’obligation de traiter l’investissement de sa trésorerie comme s’il s’agissait de son propre argent.
Avant de placer sa trésorerie, il faut relire les règles de fonctionnement définis dans les statuts de l’entreprise ou de l’association. Elles ne sont pas les mêmes selon que l’entreprise est une SA au capital de 1 00 0000 € ou une association.
Ensuite, il faut se poser ces trois questions :
1- quel matelas de trésorerie doit-on conserver comme disponible à tout moment ?
2- quel montant de trésorerie peut-on placer ?
3- quel niveau de risques peut-on alors accepter ?

Parmi les critères à prendre en compte pour réussir son placement :
la durée de placement : sur combien de jours, de mois, d’années ? Ce sont les horizons de placement de la trésorerie de l’entreprise qui doivent déterminer le support d’investissement et donc sa rémunération. Attention, un placement long terme est potentiellement plus rémunérateur qu’un placement court terme.
le montant du placement : selon l’excédent à placer, l’entreprise n’a pas accès aux mêmes solutions de placement. Certaines sont accessibles à partir de 1 000 euros et d’autres à partir de 100 000 euros,
le niveau de risque : plus le risque est important, plus la rémunération potentielle sera importante.
– la rémunération : l’erreur est de rechercher la rémunération avant tout. Mieux vaut chercher la liquidité de la trésorerie.
Enfin, il faut étudier en détail toutes les solutions proposées sur le marché (des moins aux plus risquées) et choisir celle qui correspond le mieux à sa situation (aux critères prédéfinis ci-dessus).

Les CAT ou DAT

Le compte à terme (CAT) et le dépôt à terme (DAT) sont des comptes de dépôt à terme, par opposition aux comptes de dépôt à vue (appelés aussi comptes courants ou comptes chèques). En clair, ils correspondent à un prêt d’argent que l’entreprise accorde à une banque pour une durée fixe ou variable et pour un taux d’intérêt, qui sont connus et convenus à l’avance. Le compte à terme peut être :
à taux fixe : le rendement est fixé contractuellement entre l’entreprise et son banquier,
à taux progressif : le taux de rémunération du capital placé est fonction de la durée du placement. Plus le capital est prêté longtemps, plus la rémunération est élevée.
Les CAT ou DAT proposés par les établissements bancaires sont accessibles à partir de 500 euros et offrent une garantie en capital. Le taux de rémunération dépend du montant des sommes placées, de la durée du prêt du capital (de 1 à 36 mois) et des taux des marchés comme l’Euribor et l’Eonia (aujourd’hui autour de 1%). Généralement, les taux proposés par les banques (taux du CAT de 0,1 à 0,4%) est inférieur à ces taux puisque la banque se rémunère sur le placement (marge entre 0,10 et 0,50%). Attention, même si ces fonds sont disponibles à tout moment, il faut bien prendre en compte que la rémunération de ces fonds sera moindre voire nulle si le retrait intervient avant l’échéance prévue. Retrouvez d’ailleurs cet article portail-economie.com/finance/ pour plus d’information sur le rendement du fonds en euro.

Les contrats de capitalisation

Les contrats de capitalisation sont des contrats d’assurance sur lesquels l’entreprise ou l’association peut placer sa trésorerie. A ne pas confondre avec les contrats d’assurance-vie destinés aux particuliers ! L’imposition des plus-values est d’ailleurs différente.
Ces contrats permettent de placer sa trésorerie (des montants assez élevés) sur plusieurs types de supports : des fonds en euros au capital garanti, des unités de compte (UC) dont la performance dépend des marchés financiers.
Attention, les compagnies d’assurance appliquent des pénalités (entre 2 et 4% du montant du rachat) en cas de sortie anticipée avant 4 ans. Malgré ces pénalités, l’investissement reste encore avantageux pour l’entreprise.
Le contrat de capitalisation est intéressant pour les entreprises ayant un horizon de placement de plusieurs années et acceptant une prise de risque sur la partie du capital investie en unités de compte. Un horizon d’au moins 4 ans, idéalement 8 ans, est recommandé pour profiter à plein des avantages et pour lisser un risque lié aux unités de compte.

Les SCPI

La SCPI (société civile de placement immobilier) est une solution de placement de trésorerie d’entreprise envisageable si les statuts de l’entreprise ou de l’association le prévoient.

Il y a deux manières d’investir sur des SCPI selon les besoins de l’entreprise :

1- Achat en pleine propriété
Le principe est simple : on investit sur des parts de SCPI qui constituent un actif pour la société. En contrepartie, le gestionnaire de la SCPI verse des loyers trimestriels. Ces loyers sont ensuite imposés selon un barème particulier. Ce type d’achat s’adresse à des investisseurs qui veulent revaloriser une part de leur trésorerie, tout en gardant la propriété de celle-ci. Attention : les frais de souscription nécessitent d’utiliser les SCPI sur des trésoreries long terme.
2- Achat en nue-propriété (démembrement)
L’investisseur ne détient que l’usufruit de ses parts de SCPI. La nue-propriété est détenue par un autre investisseur. Le principal avantage de ce type d’achat est de pouvoir bénéficier d’un prix réduit d’achat des parts et d’être rémunéré sur la valeur de la pleine propriété sur une durée définie à l’avance (entre 3 et 5 ans, voire 10 ans dans certains cas) tout en conservant un risque maîtrisé. Fiscalement, les sociétés à l’IS peuvent amortir comptablement la valeur de l’usufruit. Ce qui permet de réduire fortement la fiscalité des revenus tirés de cet investissement.

Les rendements des SCPI sont également largement supérieurs à ceux des CAT ou DAT. Il est conseillé d’être accompagné dans le choix des SCPI.

La fiscalité des placements de trésorerie

La fiscalité des revenus de placements de trésorerie s’applique ou pas selon le statut de l’entité :
les entreprises sont soumises à l’impôt sur les sociétés (IS) au taux réduit de 24 %, 15 % ou 10 % selon la nature des revenus (voir tableau),

fiscalités placements de trésoreries

les associations ne sont pas soumises à l’imposition forfaitaire annuelle ni aux contributions sociales et exceptionnelles additionnelles à l’IS,
– les fondations reconnues d’utilité publique et les fonds de dotation (dont les statuts ne prévoient pas consommer leur dotation en capital) sont totalement exonérés.
Certains revenus de capitaux mobiliers sont exonérés d’impôt :
les produits des obligations et autres titres d’emprunt négociables émis avant le 01/01/1987,
– les produits des bons de caisse soumis à la retenue à la source,
– les intérêts des livrets A et des comptes d’épargne construction,
– les intérêts des livrets « bleus » du Crédit mutuel ouverts avant le 1er janvier 2009,
– les intérêts des fonds déposés à la Caisse des dépôts et consignations par les sociétés mutualistes.

Choisir une société de gestion : Sunny AM

Comme le placement d’un excédent de trésorerie est un sujet complexe, il est vivement conseillé d’être accompagné par un spécialiste afin d’être orienté vers les solutions de placement adaptées à sa situation et à ses besoins.

Spécialistes de la gestion d’actifs, les sociétés de gestion proposent des solutions pour placer les excédents de trésorerie des entreprises.

Pour rémunérer les trésoreries stables, Sunny AM propose une gestion reprenant la technique du portage obligataire. Elle consiste à acheter des obligations émises en euros (donc aucun risque de change) pour leur rendement, et à les conserver jusqu’à leur échéance pour percevoir l’ensemble des coupons tous les ans et pour récupérer le capital à l’échéance. Cette technique est aujourd’hui reproduite par l’un des fondateurs de Sunny AM, Jacques Cadenat (ancien assureur chez Le Conservateur pendant 20 ans, ayant géré jusqu’à 4 milliards d’actifs), sur les obligations d’entreprises privées libellées en euros.

Cette stratégie obligataire est toute indiquée pour les trésoreries d’entreprises. Non seulement le principe est simple : une obligation, c’est un contrat avec une durée et un taux. Mais en plus, dès lors que la durée de détention s’aligne sur la maturité moyenne du portefeuille, cette gestion offre une visibilité sur le rendement appréciable et appréciée dans la gestion de trésorerie. Les risques sont encadrés car l’investissement est diversifié sur près de 80 lignes (chacune des lignes ne dépasse pas les 2,5% du global de l’actif géré) avec un objectif de volatilité faible (variation du fonds).

Avec Sunny AM, l’entreprise bénéficie d’un reporting mensuel personnalisé qui lui permet d’avoir une vision claire du rendement de son portefeuille.

Ce type de gestion est parfaitement adapté aux personnes morales qui recherchent des solutions pour leur trésorerie stable. D’autant que le taux de rendement reste très compétitif face à celui des comptes à terme.

Articlе Spоnsоrisé : Sunny-am.finance

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